Questions familiales
Bien conseillés - Jun 26, 2025
Avez-vous parfois des situations avec votre conjoint, parent, enfant ou petit-enfant qui nécessitent une solution? Faites appel à nous lorsqu’une question d’ordre financier se pose et tout pourrait se dérouler plus facilement.
Bon nombre des situations qui surviennent au sein d’une famille impliquent non seulement des questions personnelles, mais aussi un élément financier. La gestion d’une telle situation peut être plus simple si vous faites appel à nous pour des questions de planification du patrimoine.
Voici quelques exemples de la manière dont un client et son conseiller peuvent aborder une question familiale.
Aider un parent
Un couple se trouve à environ cinq ans de la retraite et cherche à déterminer si l’un des conjoints peut quitter son emploi pour s’occuper d’un parent ayant besoin de soins. Ils demandent à leur conseiller comment la perte de revenu affecterait leurs projets de retraite.
Le conseiller explique au couple que si l’un des conjoints quitte son emploi, le couple pourra en principe atteindre son objectif d’épargne si le conjoint qui travaille retarde son départ à la retraite de deux ans. Si le conjoint qui travaille préfère garder sa date de départ à la retraite initiale, le couple devra faire certains compromis quant à leur mode de vie à la retraite ou à leur planification successorale, mais ils n’auront pas à s’inquiéter pour le maintien d’un revenu confortable à la retraite.
Fort de ces informations, le couple décide que l’un des conjoints quittera son emploi plus tôt pour s’occuper du parent, et qu’ils détermineront plus tard le moment où l’autre prendra sa retraite.
Prendre soin d’un enfant
Un couple a un enfant qui vient d’obtenir son diplôme universitaire, les études ayant été entièrement financées par leur épargne-études. Cependant, l’enfant a désormais une autre aspiration professionnelle et souhaite retourner à l’université, dans une autre ville, pour suivre un nouveau programme.
Le couple soutient la décision de leur enfant, mais se demande s’il convient de l’aider financièrement. Ils rencontrent leur conseiller pour savoir quel serait l’impact d’une aide financière sur leur plan de patrimoine et pour réfléchir à différentes options. Après avoir examiné plusieurs scénarios, ils décident de payer les frais de scolarité et de demander à leur enfant de contracter un prêt étudiant pour couvrir les autres dépenses.
Vous et votre conjoint
Une personne se remarie, et le nouveau couple souhaite résoudre une divergence d’opinions concernant l’épargne-retraite. Ils envisagent d’ouvrir un compte de placement conjoint non enregistré, mais l’un des conjoints est un investisseur prudent, tandis que l’autre adopte une approche plus audacieuse.
Le couple consulte leur conseiller, qui leur présente trois solutions possibles. Ils peuvent trouver un compromis en adoptant une approche équilibrée qui privilégie les placements à risque modéré, ou bien chacun peut conserver le type de placement qu’il préfère, soit dans un compte joint, soit dans des comptes séparés. Le couple est satisfait de constater que, quel que soit le choix retenu, le résultat net constitue un compromis efficace : l’investisseur prudent bénéficie d’un potentiel de croissance accru, tandis que l’investisseur audacieux ajoute de la stabilité à l’ensemble de ses placements.
L’avenir d’un petit-enfant
Un grand-parent souhaite commencer à contribuer aux frais d’études postsecondaires d’un jeune petit-enfant. Sa première idée est d’ouvrir un régime enregistré d’épargne-études (REEE), mais il consulte son conseiller pour connaître les autres options possibles. Le conseiller lui présente les avantages et les inconvénients de plusieurs choix : un REEE qu’il ouvrirait lui-même, un REEE ouvert par les parents de l’enfant, un compte en fiducie, un compte d’épargne libre d’impôt (CELI) ou un compte non enregistré. Avec l’aide de son conseiller, ce grand-parent décide d’utiliser à la fois le REEE mis en place par les parents de l’enfant et un nouveau CELI qu’il ouvre spécialement à cette fin.
Ces scénarios peuvent ne pas ressembler aux vôtres, mais vous serez probablement confronté à d’autres situations familiales qui impliquent un aspect financier. Lorsqu’elles se présentent, nous sommes là pour vous aider à prendre la décision qui vous convient.
Impliquer vos enfants dans la planification successorale
Vous n’avez pas besoin de partager tous les détails de votre testament, mais vous et vos enfants pouvez tirer profit d’une discussion sur certains aspects de la planification successorale.
Désigner votre liquidateur testamentaire. Vous n’avez qu’un seul enfant et vous souhaitez le désigner comme liquidateur testamentaire?1 Assurez-vous qu’il comprend les responsabilités qui lui incombent et qu’il est disposé à assumer ce rôle. Si vous avez deux enfants ou plus, demandez-leur s’ils souhaitent devenir votre liquidateur testamentaire afin de déterminer si vous désignerez un seul enfant ou plusieurs co-liquidateurs.
Planification pour une propriété de vacances. Vous pensez peut-être léguer la propriété de vacances familiale à vos enfants, mais vous devrez modifier votre plan successoral si tous vos enfants ne souhaitent pas hériter de cette propriété.
Faire des legs inégaux. Vous pouvez avoir une raison de léguer des montants différents à chacun de vos enfants. Par exemple, vous pourriez laisser moins à un enfant si vous l’avez déjà aidé pour la mise de fonds de sa première maison. Discuter de ces questions peut aider à prévenir les conflits entre vos enfants et à éviter toute rancune à votre égard.
1 Ou représentant successoral, fiduciaire successoral, exécuteur, représentant personnel ou administrateur, selon la province.