Vite! Nommez votre atout le plus précieux
DA Marketing - 30 décembre 2020
Votre maison est-elle votre bien le plus précieux? Votre régime enregistré d’épargne-retraite (REER)? Un compte de placement?
Votre maison est-elle votre bien le plus précieux? Votre régime enregistré d’épargne-retraite (REER)? Un compte de placement? Votre bien le plus précieux est sans doute ce qui finance tout le reste, à savoir votre revenu. Il est donc tout à fait logique de protéger votre revenu. C’est ici qu’entre en jeu l’assurance-invalidité. D’ailleurs, l’assurance-invalidité est souvent appelée assurance en cas de perte de revenu.
L’assurance-invalidité fournit une prestation mensuelle lorsqu’une maladie ou qu’une blessure vous empêche de travailler. Les demandes relatives aux incapacités à long terme les plus courantes au Canada sont liées à des problèmes musculo-squelettiques, àla santé mentale et au cancer. Parmi les problèmes musculo-squelettiques, nommons les maux de dos et les douleurs liées à l’arthrite impliquant des problèmes de souplesse ou de mobilité. D’autres réclamations communes sont liées aux maladies et aux lésions cardiaques. Une enquête menée par Statistique Canada montre que, parmi les personnes en âge de travailler, une sur cinq souffre d’une incapacité qui l’empêche d’accomplir certaines activités quotidiennes, et 43 % d’entre elles estiment avoir une incapacité grave ou très grave.1
Évaluation de l’assurance-invalidité collective
Il se peut que l’assurance-invalidité de longue durée offerte par votre employeur vous convienne parfaitement, mais pour certaines personnes, l’assurance-invalidité collective comporte des lacunes. La période d’attente avant que les prestations commencent à être versées peut être plus longue que souhaité. Il se peut aussi que la période maximale au cours de laquelle vous recevez des prestations ne soit pas assez longue. Ou encore, il se peut que la prestation mensuelle maximale soit loin de répondre à vos besoins quant au coût de la vie.
Il existe différentes définitions de la notion d’« incapacité ». La meilleure couverture couvre « votre emploi », ce qui signifie que vous recevez des prestations si l’invalidité vous empêche de remplir les tâches que vous accomplissez habituellement dans le cadre de votre travail. En revanche, l’assurance-invalidité « tout emploi » signifie que vous ne recevez des prestations que si l’invalidité vous empêche d’effectuer quelque travail que ce soit.
Si vous souhaitez souscrire à une assurance-invalidité encore plus complète, vous pouvez ajouter une protection complémentaire à votre couverture collective au moyen d’une assurance-invalidité individuelle. Par exemple, une personne dont le régime collectif offre une couverture «occupation propre », mais pour une période d’indemnisation de deux ans seulement, pourrait choisir de souscrire à une assurance-invalidité individuelle comportant une période d’attente de deux ans et offrant une couverture « occupation propre » jusqu’à l’âge de 65 ans.
Communiquez avec nous si vous souhaitez évaluer vos besoins en matière d’assurance-invalidité ou évaluer votre assurance-invalidité actuelle.
Une protection pour les propriétaires d’entreprise
En tant que propriétaire d’une petite entreprise ou travailleur autonome, vous avez probablement souscrit à une assurance-invalidité pour compenser le revenu que vous perdriez s’il vous fallait vous absenter du travail à la suite d’une blessure ou d’une maladie. Mais n’hésitez pas à nous consulter si vous pensez également avoir besoin d’une couverture assurance-invalidité supplémentaire. Une assurance frais généraux, un type d’assurance-invalidité, aide à couvrir les coûts de fonctionnement comme les salaires, le loyer et les services publics pendant la période au cours de laquelle vous devez vous absenter du travail. Vous pourriez également couvrir le coût d’une police d’assurance-invalidité individuelle pour attirer et maintenir en poste un employé essentiel. Si vous avez établi un partenariat, une assurance-invalidité pourrait financer une convention de rachat qui permet à un partenaire d’acheter les intérêts commerciaux du partenaire qui doit s’absenter.